La coloration des argiles est due pour l’essentiel aux oxydes qui les composent. Notamment les oxydes ferreux ou ferriques. Ce ne sont pas que les oxydes qui déterminent les variations de couleur, mais la complexité est telle qu’il nous les faudrait des pages pour pouvoir expliquer ce phénomène.
L’oxydation est donc une des particularités importante et
fondamentales de la coloration d’argiles.
Les argiles de couleur rouge, jaune, marron renferment des
oxydes ferriques, à qui elles doivent couleurs chatoyantes, l’oxyde ferrique
étant un ion saturé, qui ne se dégrade plus.
L’exception est l’argile blanche qui doit sa couleur à un
fort pourcentage d’aluminium : plus de 25% ; c’est l’élément premier
qui lui donne cette couleur blanc-argenté.
Roses, blanches, rouges et jaunes, les argiles contiennent
des éléments qui permettent de revitaliser l’épiderme, l’adoucissent,
suppriment les irritations cutanées en améliorant la tonicité et donnant une
peau plus claire, dans le respect du pH et d’un équilibre constant.